« Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
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« Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
Les ténèbres m’entourent. La nuit est tombée dans mon cœur, pour toujours, sans que lever du jour ne puisse arriver. Je m’enlise dans la brume obscure de mon âme. Il n’y a plus rien à faire. Je marche, je m’évade, je tente, du moins. Et je fuis. Toujours fuir. Fuir le monde, me fuir moi, et les fuir eux qui me pourchassent. Je vois encore les petites billes qui sont leur regard, parfois je les croise dans un buisson et alors je cours. Il ne faut pas que je me fasse prendre. Ni par eux ni par mes souvenirs. Je dois tout fuir, ne jamais revenir. Ne jamais réapprocher la ville, rester ici, là-bas, me perdre jusqu’à l’épuisement. Rien de tout ça ne doit me toucher de nouveau. Mais où suis-je ? Mon regard parcourt l’endroit. Je ne sais pas. Peu importe, sans aucun doute. Je ne dois pas m’arrêter de marcher, ils pourraient me rattraper pour me retirer la vie. Qu’ai-je fait ? Mais qu’ai-je fait ? Je préfère ne pas me répondre, la vérité est bien trop cruelle pour résonner dans l’abîme de mon cœur. Alors laissons le vide y régner, c’est beaucoup plus apaisant comme réponse. Même si en soit, ça ne donne aucune indication sur la route à suivre. Ce n’est pas grave. C’est toujours mieux que rien, non ? Je pense. Mais je pense toujours, sans jamais arrêter, comme ma fuite, comme tout.
Il ne faut pas arrêter, dès qu’on arrête, on est mort. Si j’arrête, je suis mort et ironiquement, curieusement, je ne recherche pas cette absence de vie, non, je cherche à survivre. Je fuis mes démons et leur ombre, tout en pourchassant la vie. Je m’épuise. Je ralentis. Je panique et j’accélère. Je ne suis plus sur les terres de la ville depuis longtemps bien que je ne sache toujours pas où je me trouve, l’important, c’est d’être loin de ma maison, de l’endroit où je me trouvais auparavant. Ce lieu où j’ai grandi, où j’ai détruit, où je me suis détruis. C’est ça que je fuis, ce sont ces souvenirs que je fuis, pour ne plus jamais me perdre en eux et refaire les mêmes erreurs, parce qu’à l’instant où je les reproduirais, je ne serais pas mieux qu’une carcasse enterrée tellement profondément sous terre. Je veux vivre. Je ne sais même pas pourquoi, mais c’est le cas. Je poursuis la vie, la survie, une existence qui ne vaut rien, mais je m’exécute pareil. Tu es ridicule… Ferme-là ! Je feule. Je lui crache de se taire. Je ne désire pas l’entendre me pourrir ma journée qui n’est, de toute façon, pas très bien partie. Réveillé par la pluie, je suis d’humeur médiocre. Et tu crois que j'obéirais ? Elle se manifeste encore et je grogne de colère.
Il ne faut pas que je cède à cette voix, à la violence qu’elle fait naître en moi. Si j’accepte, je me perds. Et je suis déjà bien loin, alors… Je dois faire attention. C’est vital et crucial, tout en sachant qu’elle viendra me compliquer la tâche. Je ralentis, je n’ai plus de force. Je n’ai presque pas dormi et depuis hier, je n’ai rien mangé. Mon corps ne suit pas la route, ça me désole. Sans cette contrainte physique, j’aurais une plus grande possibilité de fuite, mais ce n’est pas le cas, elle existe. Mon corps se manifeste bien souvent, ne m’offrant pas la possibilité d’oublier sa présence et les restrictions que ça m’apporte. Dommage. J’arrête alors et j’observe tout autour de moi, l’inquiétude brillant dans ton mon être. Je n’abandonnerais pas. On ne pourra pas m’attraper. Je vois dans la rivière un obstacle pour ma fuite, mais je dois manger, me nourrir, je ne tiendrais pas autrement. Alors je me tapis au sol, humant une piste, une souris et je saute, je l’attrape, j’y parviens, j’ai bien appris. Alors pourquoi ça ne peut pas me ravir ? Ça ne provoque rien en moi, je ne fais que savoir le repas servi et je mange rapidement ma proie. En quelques bouchées. Le temps de savourer ne m’appartient pas, la fuite se doit de reprendre.
Je cours de nouveau, m’éloignant du territoire de chasse où j’ai attrapé une petite souris, une vulgaire petite souris, mais qui se trouve suffisante pour mon estomac qui s’est habitué à ce monde de vie où je m’épuise constamment, dormant peu, parcourant une si grande distance chaque jour. Je ne réalise pas que je tourne en rond, dans les terres libres, celles qui ont une appartenance, je ne réalise pas, j’oublie. Elle-même ne réalise pas. Alors que je fais halte, j’entends un bruit, une odeur me parvient. Tous mes muscles se tendent. J’ai été trouvé. Je respire calmement, je vois une silhouette bien trop près de moi, une femelle, je sais le deviner. C’est une femelle. Est-ce qu’elle m’a vu ? Je suis persuadé que oui. Elle est de ceux qui me traquent, c’est certain. Es-tu une cervelle de souris ? Personne ne te cherche ! Foutaises. On me poursuit. Je les vois, même s’ils se pensent discrets. Je l’attends, demeurant immobile. Mon regard posé sur elle, je patiente.
Il ne faut pas arrêter, dès qu’on arrête, on est mort. Si j’arrête, je suis mort et ironiquement, curieusement, je ne recherche pas cette absence de vie, non, je cherche à survivre. Je fuis mes démons et leur ombre, tout en pourchassant la vie. Je m’épuise. Je ralentis. Je panique et j’accélère. Je ne suis plus sur les terres de la ville depuis longtemps bien que je ne sache toujours pas où je me trouve, l’important, c’est d’être loin de ma maison, de l’endroit où je me trouvais auparavant. Ce lieu où j’ai grandi, où j’ai détruit, où je me suis détruis. C’est ça que je fuis, ce sont ces souvenirs que je fuis, pour ne plus jamais me perdre en eux et refaire les mêmes erreurs, parce qu’à l’instant où je les reproduirais, je ne serais pas mieux qu’une carcasse enterrée tellement profondément sous terre. Je veux vivre. Je ne sais même pas pourquoi, mais c’est le cas. Je poursuis la vie, la survie, une existence qui ne vaut rien, mais je m’exécute pareil. Tu es ridicule… Ferme-là ! Je feule. Je lui crache de se taire. Je ne désire pas l’entendre me pourrir ma journée qui n’est, de toute façon, pas très bien partie. Réveillé par la pluie, je suis d’humeur médiocre. Et tu crois que j'obéirais ? Elle se manifeste encore et je grogne de colère.
Il ne faut pas que je cède à cette voix, à la violence qu’elle fait naître en moi. Si j’accepte, je me perds. Et je suis déjà bien loin, alors… Je dois faire attention. C’est vital et crucial, tout en sachant qu’elle viendra me compliquer la tâche. Je ralentis, je n’ai plus de force. Je n’ai presque pas dormi et depuis hier, je n’ai rien mangé. Mon corps ne suit pas la route, ça me désole. Sans cette contrainte physique, j’aurais une plus grande possibilité de fuite, mais ce n’est pas le cas, elle existe. Mon corps se manifeste bien souvent, ne m’offrant pas la possibilité d’oublier sa présence et les restrictions que ça m’apporte. Dommage. J’arrête alors et j’observe tout autour de moi, l’inquiétude brillant dans ton mon être. Je n’abandonnerais pas. On ne pourra pas m’attraper. Je vois dans la rivière un obstacle pour ma fuite, mais je dois manger, me nourrir, je ne tiendrais pas autrement. Alors je me tapis au sol, humant une piste, une souris et je saute, je l’attrape, j’y parviens, j’ai bien appris. Alors pourquoi ça ne peut pas me ravir ? Ça ne provoque rien en moi, je ne fais que savoir le repas servi et je mange rapidement ma proie. En quelques bouchées. Le temps de savourer ne m’appartient pas, la fuite se doit de reprendre.
Je cours de nouveau, m’éloignant du territoire de chasse où j’ai attrapé une petite souris, une vulgaire petite souris, mais qui se trouve suffisante pour mon estomac qui s’est habitué à ce monde de vie où je m’épuise constamment, dormant peu, parcourant une si grande distance chaque jour. Je ne réalise pas que je tourne en rond, dans les terres libres, celles qui ont une appartenance, je ne réalise pas, j’oublie. Elle-même ne réalise pas. Alors que je fais halte, j’entends un bruit, une odeur me parvient. Tous mes muscles se tendent. J’ai été trouvé. Je respire calmement, je vois une silhouette bien trop près de moi, une femelle, je sais le deviner. C’est une femelle. Est-ce qu’elle m’a vu ? Je suis persuadé que oui. Elle est de ceux qui me traquent, c’est certain. Es-tu une cervelle de souris ? Personne ne te cherche ! Foutaises. On me poursuit. Je les vois, même s’ils se pensent discrets. Je l’attends, demeurant immobile. Mon regard posé sur elle, je patiente.
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Re: « Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
Le soleil c'était levé paisiblement , la nuit avait fait place au premières lueurs du soleil qui me paraissait si loin , mais si proche quand il me réchaufait ma fourrure humide et fraiche par la rosée du matin .Je me leva , les muscles endolorit par ce long sommeil , je m'étiras en baillant et en savourat chaques moments de cette magnifique journée , Fleur de l'aube m'avait envoyé à la chasse et au marquage du territoire près des sentiers battus . Je voulait profiter plus longtemps de ce beau matin mais je n'avais pas de temps a perdre .
Je me tua a la tache , chaque proie était rapidement entérrée sous un Erable qui m'avit servi d'abris a mainte reprise , il y avait de quoi nourir tout les anciens , reines et apprentis ... J'étais fière , oui si fière d'avoir attrapé des proies aussi dodue et il y en avait pour tout les gouts : de la souris et du muleau , du poisson et du moineau et même un lapin .
Une odeur inconnu parvint a mes narines , ca sentait bon mais ce n'était surement pas une proie , encore moins le clan de l'ombre qui sentait la meme odeur que leurs marais , non ce n'était pas ça mais au mois c'était un chat , il devait quand même être assez loin , je sentait très bien et j'étais une des meilleure pisteuse du clan , je remontas la trace jusqu'au sentier battus qui avait effectivement besoin d'un marquage en vitesse que je fit silencieusement sur quelques buissons
même si je risquait d'attirer plus de chats que les dissuader , Fleur de l'Aube avait vraiment choisi la bonne période ...
Je souffla un bon coup et me dirigea vers le chat inconnu avec calme et élégence , la posture fière comme a mon abbitude en marchant doucement , les pupilles rondes et les griffes rentrée la queue bien haute , je lui montrait que je ne lui voulais pas le moindre mal ...
Je me tua a la tache , chaque proie était rapidement entérrée sous un Erable qui m'avit servi d'abris a mainte reprise , il y avait de quoi nourir tout les anciens , reines et apprentis ... J'étais fière , oui si fière d'avoir attrapé des proies aussi dodue et il y en avait pour tout les gouts : de la souris et du muleau , du poisson et du moineau et même un lapin .
Une odeur inconnu parvint a mes narines , ca sentait bon mais ce n'était surement pas une proie , encore moins le clan de l'ombre qui sentait la meme odeur que leurs marais , non ce n'était pas ça mais au mois c'était un chat , il devait quand même être assez loin , je sentait très bien et j'étais une des meilleure pisteuse du clan , je remontas la trace jusqu'au sentier battus qui avait effectivement besoin d'un marquage en vitesse que je fit silencieusement sur quelques buissons
même si je risquait d'attirer plus de chats que les dissuader , Fleur de l'Aube avait vraiment choisi la bonne période ...
Je souffla un bon coup et me dirigea vers le chat inconnu avec calme et élégence , la posture fière comme a mon abbitude en marchant doucement , les pupilles rondes et les griffes rentrée la queue bien haute , je lui montrait que je ne lui voulais pas le moindre mal ...
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Caractère : Très gentille pas rancunière et extrêmement loyale envers le Code du guerrier et protectrice envers sa famille et ses amis
Trait Particulier : A la yeux verrons (vert et bleu) c'est une très bonne pisteuse
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Re: « Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
Les ténèbres prennent peu à peu le pas sur mon esprit... Lyan, elle arrive. Lyan, sois prudent. Ne m’appelles pas Lyan ! Je ne suis pas Lyan, je ne suis pas ce chat, ce n’est tout simplement pas ma personne. Je suis Lyriel. Ça se ressemble peut-être, mais ce n’est pas pareil, définitivement pas. Mais je suis toujours prudent, par pitié, ne me dis pas ce que je dois faire, quand je sais très bien. Et puis, qu'est-ce que tu pourrais en avoir à faire que je ne sois pas prudent ? C'est toi qui te moques de mon comportement que tu qualifies d'excessif. Elle arrive, comme prévu. Elle arrive et ça me prend tout mon contrôle pour ne pas reprendre la course et m'en aller bien loin. Pourtant, elle ne semble pas agressive, elle ne donne pas l’impression de me vouloir du mal, elle semble même très calme et peut-être un peu pacifique, mais je connais les techniques. Elle ne m’aura pas. Elle fait partie de ce groupe, même si elle ne me dit rien. Elle est là pour m’attraper, pour me pourchasser, mais je ne la laisserais pas savoir que j’ai percé son jeu, ce serait là le danger. Il me faut l’observer, apprendre à la connaître pour mieux pouvoir comprendre ce qu’elle mijote. Et le moment venu, je fuirais comme j’ai toujours fait pour ne pas me faire attraper par les fantômes de mon passé. J’ai passé ces dernières lunes à parcourir le monde pour ne pas me faire capturer par eux, par l’ombre, les ténèbres et maintenant, j’y fais face. Je ne la connais pas, elle ne me dit rien, mais peut-être s’est-elle perdue dans la masse diffuse de mes souvenirs ? Je ne désire pas m’y replonger pour obtenir la réponse. Je sais qu’elle est là pour me traquer, c’est tout ce qui m’importe.
Je l’observe. Je ne dis rien. Je ne vois pas pourquoi je devrais parler. Elle est là pour m’observer, cibler mes failles et les attaquer dès que je ne me méfierais pas. Mais qu’attend-elle pour se placer devant moi ? Parce qu’elle ne pourra jamais déverser son venin dans mon corps. Et sinon, arrêter tes conneries, ça ne te tenterait pas ? Quelles conneries ? Je ne dis pas de bêtises, elle est là pour fondre sur moi tel un serpent fourbe qui patiente avant de se lancer dans une attaque. Je ne fais pas confiance aux autres, comment le pourrais-je ? Ils me tournent autour, m’oppressent et se décident de laisser le temps passer jusqu’à ce moment crucial où je baisse quelques instants ma garde et boum ! Ils sautent sur moi, bondissent, ils veulent ma vie et moi, je cherche un échappatoire. Aujourd’hui, ça n’arrivera pas, car aujourd’hui, je ne laisserais pas mes défenses sans surveillance. Elle sera déçue et je l’observerais dans son regard.
Elle approche. Elle prend son temps, et moi, je ne veux pas attendre, car je dois reprendre ma fuite très bientôt et mes pattes me mèneront sans doute bien loin de la féline qui approche. Mes muscles sont prêts au combat. Non ! Je ne suis pas agressif, je ne lui sauterais pas dessus tant qu’elle n’aurait rien fait contre moi pour trahir ses véritables intentions en venant me voir. Je parviens à apaiser mon corps qui se détend, mais je sens mon cœur prêt à pomper toute l’adrénaline dont je pourrais avoir de besoin et je dois admettre, que ça me fait un peu peur. Même si c’est léger. Et que ça s’évapore aussitôt, mon regard demeure toujours aussi froid. Depuis le début, sa teinte fade n’est pas partie, et n’a rien suivi de ma colère intérieure. Je m’avance à mon tour, et je m’arrête quand je sais que ma voix sera portée par le vent et qu’elle m’entendra. Qu’est-ce que je peux bien dire ? Dois-je réellement parler ? Mais si je ne parle pas, les événements s’éterniseront et moi, je ne pourrais pas repartir. Si tel était son but à elle, elle serait déçue, car je me prononcerais avant la sentence. Je ne pourrais pas attendre qu'elle lance la condamnation, je suis déjà banni de la trêve, de la paix, alors je ne tenterais pas les méandres ténébreuses qui se trouvent sous mes pattes, ce serait de la folie. Et sans même être forcément logique, je ne suis pas timbré où point de sauter dans le vide de moi-même. Je veux et je vais vivre.
« Saurais-tu où nous nous trouvons ? Je pense m’être perdu», je miaule d’un ton posé d’où transperce l’obscurité qui se saisit de mon être.
Dernière édition par Lyriel le Jeu 27 Oct 2016 - 2:39, édité 1 fois
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Re: « Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
Je m'approche encore petit pas par petit pas , le chat était anxieux , il regardais partout autour de lui comme lorsqu'on se sent traqué par quelque chose , je n'en savais rien mais cela m'intrigais
Il me demanda où nous nous trouvions alors je m'assoit et lui répondit amicalement
-Nous sommes sur les terres battues du clan de la rivière , si tu es perdu ou souhaite tu aller ...je me ferais une joie de t'aider
Je lui sourit , enfin j'essayas , les sourire félin ne sont pas les plus beau du monde mais c'est l'intention qui compte .
Après avoir suivi son odeur j'avais foncé dans un roncier et je ne devais plus ressembler à la même chose qu'avant vu l'état de mes poils , on aurais dit une ancienne du clan de l'ombre ...
Alors je fit ma toilette du torse jusqu'au bout de la queue avant de bondir sur une pie qui c'était posé non loin , je la poussa vers le solitaire ...
-Tu en veux ?
En attendant sa reponse je bondit encore une fois , cette fois sur un petit campagnol qui grignotait non loin de là que j'engloutit en quelque seconde , le vent était toujours agréable bien qu'un peu plus chaud que lorsque j'était parti de chez moi , le soleil était plus haut et les oiseaux chantait ...
Il me demanda où nous nous trouvions alors je m'assoit et lui répondit amicalement
-Nous sommes sur les terres battues du clan de la rivière , si tu es perdu ou souhaite tu aller ...je me ferais une joie de t'aider
Je lui sourit , enfin j'essayas , les sourire félin ne sont pas les plus beau du monde mais c'est l'intention qui compte .
Après avoir suivi son odeur j'avais foncé dans un roncier et je ne devais plus ressembler à la même chose qu'avant vu l'état de mes poils , on aurais dit une ancienne du clan de l'ombre ...
Alors je fit ma toilette du torse jusqu'au bout de la queue avant de bondir sur une pie qui c'était posé non loin , je la poussa vers le solitaire ...
-Tu en veux ?
En attendant sa reponse je bondit encore une fois , cette fois sur un petit campagnol qui grignotait non loin de là que j'engloutit en quelque seconde , le vent était toujours agréable bien qu'un peu plus chaud que lorsque j'était parti de chez moi , le soleil était plus haut et les oiseaux chantait ...
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Re: « Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
Dernière édition par Lyriel le Jeu 27 Oct 2016 - 2:38, édité 1 fois
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Re: « Personne ne peut m'avoir, car dans l'instinct de survie, on y trouve une détermination enflammée. » || ft. Yuki alias Fleur d'Érable.
[HRP :Tu fais toujours des rp incroyable , j'aimerais bien rp comme toi ^w^]
La nervosité du chat augmentait a chaque instant , la pie ne le rendit que plus nerveux encore . Il se baissa , pris une bouchée , puis deux , puis trois , continuant a se délécter de la pie , sa faim devait être atroce , puis il me posa une question , une seule , demandant ce qu'était les clans , notre famille , nos ennemis . Après avoir mangé ses yeux avait au fond une petite lueur , une lueur d'espoir , une autre lueur plus intense , la curiosité prenait le dessus . Je regardas autour de moi ne sachant où poser les yeux , ne sachant pas vraiment quoi répondre , les clans était ma vie , décrire une vie peut s'averer compliqué . Je plongea mes yeux dans les siens cherchant source d'inspiration , et quelques seconde qui m'avait semblé être des heures plus tard je répondit :
-Les clans de la foret sont quatres , quatres clan que tout oppose tell que le territoire ou les capacité de chacuns , certains sont meilleure à la chasse d'autres a la nage ou au combat . Les membres des clans sont comme une grande famille dirigé par un chef , mais chaque clan à des ennemis , comme les chiens , les bipèdes , renards et blaireau ou bien les autres clan ...-
Ma voix se perdit dans le lointain , mon passé me hantait , être detesté , méprisé par les membres de son clan originel était dur , je posa les yeux sur un oiseau bleu qui chantait sur une branche avant de s'envoler , la tristesse qui avait envailli mon regard quelques secondes plus tôt disparu .
Je regarda le chat ecaille , son pelage me rappelait étrangement le miens , maintenant que je le regardait de plus près je voyait que sa foururre était magnifique , elle était brillante et lisse et ses nuance de roux de noir et de blanc s'accordait parfaitement entre elle .
Je me leva fit quelques pas en avant , j'étais plus près du chat , son odeur de peur était impregné dans sa fourrure , je recula à nouveau , sans m'assoir , je me demandais pourquoi m'avait-il posé cette question , j'avais deja rencontré des solitaires mais jamais aucun n'avait demandé cela , a vrai dire il avait tous préféré me sauter dessus .....et e avait payer le prix , mais celui la était différent .
Il m'avait posé une question , je lui posa la mienne en retour
-Dit moi , qui es-tu ?
La nervosité du chat augmentait a chaque instant , la pie ne le rendit que plus nerveux encore . Il se baissa , pris une bouchée , puis deux , puis trois , continuant a se délécter de la pie , sa faim devait être atroce , puis il me posa une question , une seule , demandant ce qu'était les clans , notre famille , nos ennemis . Après avoir mangé ses yeux avait au fond une petite lueur , une lueur d'espoir , une autre lueur plus intense , la curiosité prenait le dessus . Je regardas autour de moi ne sachant où poser les yeux , ne sachant pas vraiment quoi répondre , les clans était ma vie , décrire une vie peut s'averer compliqué . Je plongea mes yeux dans les siens cherchant source d'inspiration , et quelques seconde qui m'avait semblé être des heures plus tard je répondit :
-Les clans de la foret sont quatres , quatres clan que tout oppose tell que le territoire ou les capacité de chacuns , certains sont meilleure à la chasse d'autres a la nage ou au combat . Les membres des clans sont comme une grande famille dirigé par un chef , mais chaque clan à des ennemis , comme les chiens , les bipèdes , renards et blaireau ou bien les autres clan ...-
Ma voix se perdit dans le lointain , mon passé me hantait , être detesté , méprisé par les membres de son clan originel était dur , je posa les yeux sur un oiseau bleu qui chantait sur une branche avant de s'envoler , la tristesse qui avait envailli mon regard quelques secondes plus tôt disparu .
Je regarda le chat ecaille , son pelage me rappelait étrangement le miens , maintenant que je le regardait de plus près je voyait que sa foururre était magnifique , elle était brillante et lisse et ses nuance de roux de noir et de blanc s'accordait parfaitement entre elle .
Je me leva fit quelques pas en avant , j'étais plus près du chat , son odeur de peur était impregné dans sa fourrure , je recula à nouveau , sans m'assoir , je me demandais pourquoi m'avait-il posé cette question , j'avais deja rencontré des solitaires mais jamais aucun n'avait demandé cela , a vrai dire il avait tous préféré me sauter dessus .....et e avait payer le prix , mais celui la était différent .
Il m'avait posé une question , je lui posa la mienne en retour
-Dit moi , qui es-tu ?
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Noms : Petit Cobalt, Nuage Cobalt, Cobalt Abyssal.
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Apparence : Cobalt Abyssal est très grand, son pelage est auburn, constellé de jais et ses yeux sont bleus cobalt.
Caractère : Arrogant, il se vante beaucoup et n'aime guère recevoir des ordres.
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Frère : Nuage Tourmenté
Véritable Mère : Shaïna
Compagnons d'Enquêtes : Nuage Mélodieux - Nuage Ailé - Nuage Orageux - Colombe Écarlate ~
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