Tiens mais que fais-tu là ? Tu vas geler sur place ! (Feat Petit Glaçon)

Quelle triste journée ! Les arbres aussi maussades que moi, laissaient pendre leurs branches, mortes, dans le vide. Il faisait froid à geler, et de grosses gouttes de pluies s'écrasaient sur le sol. Il faisait nuit, noir, avec de fines étoiles scintillantes et l'énorme demi-lune qui luisait, reflétant son ombre sur la rivière où je me tenais. Pour couronner le tout, je m'étais disputé avec ma meilleure amie et rien que d'y penser, je ressentais un pincement au coeur, de plus mon pelage détrempé n'arrangeait rien. Après notre dispute, j'étais parti en cavalant en dehors du camp pour me changer les idées. Je pensais à aller chasser pour mon clan, après tout, il gelait à pierre fendue et mon clan allait peut-être bientôt manquer de nourriture car la mauvaise saison approchais. Les yeux dans la vague, je m'approchais un peu plus de la rivière, la fourrure mouillée, transi jusqu'aux os, et regardai en poussant un soupir : "Oh non ! La rivière est toute gelée !" Puis ma tristesse laissa place à l'inquiétude. D'une patte, je fendis la fine couche de glace accumulée sur l'eau. Je pourrais mieux chasser maintenant ... songeai-je. Je restai sur la berge, fixant pendant longtemps la surface de l'eau, à la recherche de poissons assez gros pour nourrir les anciens. Enfin, je vis une énorme forme apparaître. Excité, je m'apprêtais à l'attraper, lorsqu'un bruit me fit sursauter et fit partir le poisson. D'humeur colérique, reniflant et distinguant une odeur féline, je feulai en me retournant : "Ca t'amuse, sac à puces, de faire fuir mon gibier ?" Puis je me radoucit aussitôt en voyant un petit chaton inconnu, ou plutôt pas si inconnu que ça ... Plongeant dans mes souvenirs, je pus distinguer une odeur famillière ... Celle du clan du Tonnerre !
"Que fais-tu ici, jeune chat ?" demandai-je d'une voix calme pour ne pas effrayer le petit chenapan.

Un grand félin brun avec les yeux bleue cobat. J'ai désobéi a mon chef pour aller jouer avec mes amis, mais je me suis perdue dans la forêt.  J'ai froid monsieur. vous faite parti du clan de la rivières ? demand-ai-je en tremblant.
c'est alors qu'une branche tomba je glissa et tomba dans dans la rivière.Le courant m’emporta
A A L'AIDE !!!!  criai-je


(un peut court désolé)

Je ronronnai : " Eh bien petit vaurien ! Oui je viens du clan de la Rivière ! " Mes moustaches tremblèrent tant j'étais amusé, par la véhémence du chaton. C'est alors qu'une branche craqua et céda, le petit félin sursauta et tomba dans la rivière. Je restai sur place, les yeux écarquillés, et aperçut le jeune chat essayer de nager, mais le courant l'emportait. " Ne t'inquiète pas j'arrive ! " lui hurlai-je à pleins poumons. N'écoutant que mon courage, je pris une grande inspiration et plongeai dans la rivière. L'eau glacée me gela la fourrure, mais je m'en fichais, seule la vie du chaton comptait. Je nageai en battant des pattes, afin d'atteindre la petite boule de poils qui peinait à garder la tête à l'air libre. Je l'attrapai par la peau du cou en plantant mes crocs doucement dans sa chair tendre de chaton. En tentant de repartir à la surface, je repensai à mon amie, si elle m'avait vu ... Je remontai sur la berge, le jeune félin entre les crocs, et entreprit de lui faire recracher l'eau et de le réchauffer à grands coups de langue.

entre met griffes un petit poisson.Je te rendrais pas ton poisson!! NYA AH AH AH. Désolé mais je t'auras pas ton poisson pas ton poisson. j'essayer de ne pas rire pour pas qu'il me prenne pour un fou.  Merci quand même pour de m'avoir sauvé. Mais tu m'as appelé " petit vaurien" je ne te le pardonnerais p... attend tu vient de me sauvais la non ? quoique je te pardonne.

"Je viens de te sauver, et tu es glacé, je m'en fiche bien de ton poisson. Et où est ton camp ?" Miaulai-je agacé. Ce petit polisson égoïste me tapait bien sur les nerfs. J'avais vraiment envie de le laisser en plan et de partir en courant, mais mon esprit me disait qu'il fallait déjà sauver ce chaton. Respirant calmement pour ne pas m'énerver, je fixai le petit chaton blanc iceberg et vit qu'il se moquait bien de moi. Amusé, je montrai les crocs et feulai : "Et oh ! Je t'ai pas sauvé pour rien alors tu vas me dire l'emplacement de ton camp pour que je puisse te ramener !" Mes yeux, colériques, lui lançaient des éclairs et mes griffes étaient sorties de toute leur longueur. Et le petit chenapan continuait de rigoler et de me narguer.