Les Racines du Mal || PV Douce Huile, Petite Illusion, Petit Crocodile + sur demande

À moitié endormis par la fatigue Petit Olivier me réveilla heureusement. Sauf qu'i chahutais avec son frère et sa soeur pour une " place ". Je ronronnais de plaisir. Ils sont si mignon… J'avais été étonné quand ils ont commencer à entendre mais encore plus quand ils ont commencer à voir ! Dans quelques semaines ils pourront marcher , courir et trottiner ! J'étais fière des mes petits. La solitude ne me pesais plus car je les ais. Et sa me va largement ! Je fermai les yeux sous la douche pressions que faisais les pattes de mes chatons sur mon ventre. Il aimais faire sa comme pour obliger mon lait à sortir plus vite.

Mais tiens , comment j'ai choisis leurs noms déjà ? Ah oui ! Ont m'avais raconter une fois une histoire. Un chat nommé Crocodile était fort , courageux et charmant. Un jour , dans une épouvantable chaleur il s'abrita sous un Olivier. Ce Olivier étais robuste , intelligent et espiègle. L'Olivier regarda le chat s'endormir , se déterra et s'en alla. Le chat sous la chaleur se réveilla en transpirant et couru vers une rive et se jeta dedans. La rive étais une Illusion. Et le malheureux chat tombai dans un trou de blaireau.

Je ne connais plus la suite mais comme je n'avais pas d'imagination je donna le nom de Petit Olivier au plus petit , Petite Illusion à la fille et Petit Crocodile à mon ainée. Tout les 3 étaient ma joie de vivre. Je me levai doucement dans le mécontentement des chatons et m'assai. Mes pattes étaient endolories et j'avais besoin de prendre l'air. Je passais chaque jours ma tête en travers de la faille qui nous sers d'ouverture pour respirer l'air froid du début d'hiver.

- " Bientôt vous serrez sevrer… "

D'un côté j'avais un pincement au coeur pour mes jeunes mais de l'autres j'était fière qu'ils grandissent bien. Je m'approcha de Petit Crocodile. J'avais appris très rapidement qu'il était muet. Mais je ne suis pas triste , après tous il entend et il voit non ? De toute façon vais prendre l'initiative à lui faire faire des gestes pas trop compliquer pour qu'on le comprenne. Je léchai avec douceur le haut de la tête de celui-ci qui ouvrit sa petit bouche laissant paraitre ses dents.


(Pardon c'est fait à la va vite)

Avoir pu ouvrir les yeux, cela avait été comme quelque chose de magique pour Petite Illusion. Une sensation qu'elle voulait ne jamais oublier... Voir, s'émerveiller à la vue des choses, contempler tout cet univers. C'était tellement merveilleux. Et quand les sons s'associaient à tout cela, c'était encore plus fantastique. La chatonne pensant il y a quelques jours que la vie n'aurait put être mieux c'était trompée lourdement, elle goûtais enfin réellement au bonheur. Elle avait tout ce qu'il lui fallait, du lait, de la chaleur, des couleurs, la voix apaisante de maman...

Quelque chose pourtant l'intriguait, même si elle était jeune, elle avait absolument une irrésistible envie d'aller en dehors de cet endroit, en dehors de cette protection. Elle voulait simplement suivre où sa curiosité la mènerait. Mais pas tout de suite, car maintenant c'est l'heure de manger et elle a la place parfaite pour téter. Elle savait bien qu'elle n'était pas toute seule près de sa mère. Souvent, quand c'était l'heure de se nourrir l'un se trouvait en dessous ou à côté d'elle et l'autre la poussait avec effort, la délogeait et à son tour elle reprenait a place qui à son avis, lui était dédiée. Quand elle les observait, elle ne voyait que du noir et du blanc. Parfois deux petits points de couleur apparaissaient et elle se demandait ce que c'était.

Elle tourna la tête vers sa mère et se dit qu'elle pouvait y aller maintenant, elle voulait voir plus loin. Elle rampa au sol, essayant péniblement d'aller plus vite. Cela ne servait à rien, elle se fatiguait au fur et à mesure et au moment où elle atteignait la sortir, où un courant d'air froid allait lui geler les os, elle fut saisie par la peau du cou et ramenée à sa place. Elle regarda désespérément la sortie, se disant qu'un jour elle l'atteindrait... peut-être demain ? Ou après-demain ? Peu importait, elle se roula en boule, lançant un petit regard vers sa mère avant de fermer les yeux.

Quand Douce Huile tourna la tête elle vue Petite Illusion à moins de 3 queue de renard de l'ouverture qui menait à dehors. La jeune mère se précipita d'attraper sa petite fille et la ramener vers les autres. Petite Illusion avait un malin plaisir de vouloir sortir en dehors du périmètre autoriser dès que j'avais le dos tourner. Bien-sûr à chaque fois elle s'endormait à bout de force la coquine ! Je ne pouvait m’arrêter de la câliner. Elle possédait une petite fourrure qu'elle perdra d'ici quelques mois pour une nouvelle plus robuste. Quand elle s'assura que ses 3 petits monstres dormait la jeune maman sortit pour allez prendre une proie sur la tas de gibier.

(Excuser moi je mettais tromper de compte plus haut. C'est bien Douce Huile qui parles)

Petit Crocodile se réveilla en sursaut. Il regarda autour de lui, et ne vit pas sa mère. Il tenta de parler. D'émettre ne serais-ce qu'un petit couinement. Il ouvrit grand sa bouche mais rien. Désespérément rien ne sortais. Il voulais se faire comprendre. Impossible. Trop compliqué tout ça pour un petit chaton. Alors, il se contentait d'observer. Et d'écouter.
Il voulait faire quelque chose. Pour arrêter de s'ennuyer. Alors, il vit un lumière, à moitié coincée par des feuilles. Mais lui, ne savait pas ce que c'était. Il s'approcha, et vit un petit trou sous la barrière aux reflets verts. Il cligna des yeux, deux trois fois, puis le chaton décidais de d'avancer. Il commença aasser la tête sous cet étrange chose. Ça griffait un peu, mais sa petite taille lui permettait d'éviter facilement les épines en se plaquant contre le sol.
Maintenant, seul la moitié de son dos et ses pattes arrières dépassaient. Sans oublier sa queue, bien en l'air. Il tira sur ses petites pattes, et soudain, il sentis quelques choses picoter sa truffe. Il éternua. En silence évidemment. Il passa le reste de sa tête et vit la clairière. Au loin, se profilait une grande lande verdoyante, ondulante sous le vent frais, en ce début de mauvais saison. Le chaton s'arrêta, ébahi devant ce spectacle inconnu hier, nouveau aujourd'hui. Sa queue dépassait derrière le feuillage et frétillait dans un bruissement.