La nuit et la rencontre de l'apprenti.

Le vent froid de l'hiver arriva jusque dans mon sommeil et me réveilla... Certains chats encore grelotant dans leur sommeil, essayaient en vain de trouver une certaine source de chaleur... Les nuits étaient plus rudes à chaque lunes... J'eus un mauvais pressentiment... Mais je n'y pensa pas plus longtemps... Je suis insomniaque il est donc impossible pour moi de dormir... Faut que j'aille fair un tour. Et la bêtise me surprit... J'en eus tellement marre des endroits où j'allais la nuit et le jour dont je connaissais l'odeur et le toucher par coeur que j'eus l'excellente idée d'aller ailleurs... Non pas aux frontières, pour ne pas qu'il m'arrive encore des bricoles... Mais vers Le chemin du Tonnerre... Celui qui fait si peur aux chatons et aux apprentis quand les anciens leur raconte leurs mésaventures. C'est alors que j'essayais de me frayer un passage entre les corps endormis de mes camarades...Même si entre-temps je me retrouvais avec une ou deux pattes dans la figure... Je ne broncha pas, sinon bonjour les remords de certains. Quand j'arriva enfin à mettre le museau dehors... Je trouva la température encore plus froide et désagréable qu'à l'intérieur... Vous savez cette sensation de picotement au niveau du museau et que nous avons l'impression que les os se fige sur place... Rien ne peut y faire je ne bougea presque plus... Je passa le plus furtivement que possible devant la tanière des apprentis dont le pelage fin n'était pas adapté à ces températures... Ils grelotaient encore plus que les guerriers... J'eus une pointe de pitié qui n'est pas mon cas d'habitude... C'était peut-être mon instinct maternel qui refait surface...Reprends-toi tu est encore figée Prélude !me dis-je en mon for intérieur. J'ai dus marcher sur une branche car il eut un craquement et certains jeunes chats ouvrir l'oeil...C'est rien dormez, dormez c'est que moi je vais... chasser...La cruche ! C'est pas du tout ça qu'il faut dire... J'espère qu'ils vont se rendormir...Je passa à la marche rapide un passage que je garder secret, celui que je laisser secret depuis mon enfance quand mes expéditions obscures me prenais. Je n'eus pas de mal à trouver mon chemin dans la nuit noire... Ces odeurs que je connaissais me guider à travers toutes cette verdures et ces arbres touffus. Quand un grognement fort et inattendue se fit entendre... Grondant telle le tonnerre je comprenais mieux pourquoi ce chemin portait son nom... Et il le porte à merveille ! Le grondements se fit plus violent quand il passa à côté de moi... Sa lumière aveuglante me fit fermer les yeux. Quand le grognement commencer à disparaitre et le noir refit surface je décida de m'avancer vers ce chemin encore plus noir que la nuit. Ces odeurs nauséabond lorsque j'approchais ma truffe de ce gravier... Je posa une patte sur cette matière... Je la trouva dure aussi dure que la terre durant l'été... Je sentis une présence proche et familière... Malheureusement, je ne connaissais pas grand monde de mon clan... Alors je ne reconnus pas à qui appartenait l'odeur mais il est du clan de l'Ombre et ceci me rassura... Mais que lui dirais-je... En fin de compte je suis aussi sur une frontière.... Je suis la pire des bêtes... Je recula ma patte... Pour sentir d'où provenait l'odeur, quand je regarda droit devant moi le chat se trouva à 3 ou 4 longueurs de queues de moi... Je fit mine de ne pas l'avoir senti....