Dans la clairière (privé?)

Museau Ténébreux rentrait d'une partie de chasse,bredouille.Il n'avait pas vu l'ombre d'un lapin.Il était midi,et bien qu'il fût frais dehors,le soleil commença a pointer son nez.Le matou s'installa dans la clairière.Il se coucha lentement sur le sol avant d'entreprendre une toilette.

La patrouille frontalière s'était bien passait. À un ou deux points près : je m'était (encore) disputer avec Nuage Empoissonnée. C'est pas ma faute si on fait toujours les patrouilles ensemble ! D'ailleurs, ça commence à "légèrement" m'agacé...
J'entre dans la clairière. Mon ventre gargouille, m'indiquant l'heure : c'est celle de manger. Je vais prendre un lapin et observe autour de moi. Je vois un pelage gris, comme celui de Touffe de Neige, mon mentor.
Je m'approche avec mon lapin dans la gueule du chat, pour proposé de partager mon déjeuné avec lui. Je m'assoie à côté de lui et demande:
-On partage le lapin ?
Puis, juste à après, je me rend compte que c'est pas mon mentor, mais un guerrier que je connais pas. La bourde... Je m'exclame, vivement:
-Désolé, je vous ai pris pour mon mentor... vous lui ressemblé un peu d'ailleurs ; vous avez la même couleur de pelage ! Mais désolé de vous avoir dérangé dans... votre sieste !

Museau somnolait tranquillement quand il entendit une voix lui proposer:
-On partage le lapin?
Le guerrier releva la tête,intrigué.Une jeune chatte au pelage brun strié de rayures bruns foncé.Des tâches crème était reparti sur son pelage.Museau Ténébreux observa longuement la jeune féline avant de se souvenir que c'était l'apprenti de Touffe de Neige.Elle s'appelait nuage de Feuilles,lui semblait t- il.Elle s'exclama:
-Désolé,je vous ai pris pour mon mentor... vous lui ressemblé un peu d'ailleurs ; vous avez la même couleur de pelage ! Mais désolé de vous avoir dérangé dans votre sieste !
Le guerrier répondit amusé:
-Aucun problème,ça arrive a tout le monde de se tromper.
Après quelques instants il dit:
-De toute façon,je me serais réveiller tout au tard.Je pense que je vais aller chasser,ca te dit de venir?Si ton mentor est d'accord bien sûr.

Je lui réponds, du ton joyeux que j'emploie tout le temps pour parler:
-Je veux bien mais avant, je mange mon lapin, j'ai bien trop faim pour y renoncé ! Tu veux le partager tout de même ?

-Pourquoi pas.
Répondit le matou.Il prélèva une bouchée de lapin et se leva lentement et s'ebroua quelque instant.Il se dirigea vers la sortie sans se presser,et une fois devant l'entrée du camp il se retourna,attendant l'apprenti.

Je fini de manger le lapin à peine entamé puis, je par rejoindre le guerrier d'un pas sautillant.
Une fois à côté de lui et sur le point de partir, je lui demande :
-Mais au faite, comment tu t'appelles ?

-Moi c'est Museau Ténébreux.
Répondit le guerrier.Il s'élança dehors,et se dirigea vers la lande,lançant de tant à autre un oeil en arrière pour s'assurer que l'apprenti suivent.Ils couraient,face au vent,l'air frais lui fouettant le visage et le corp.

Je talonne le guerrier, avec un peu de peine. Je n'ai pas trop l'habitude de courir aussi vite... Soudain, je me fige dans la coure. Une odeur de mulot me parvient, de la gauche.
Je me flanque au sol, espérant que l'animal n'avait vu ni Museau Ténébreux, ni moi.

Museau Ténébreux s'était arrêté quelques mètres plus loin. Il se retourna et ne vus pas l'apprenti tout de suite. Après quelques instants, il l'aperçu. Elle s'était flanqué au sol, comme si elle avait vu quelque chose. Il lui lança un regard interrogateurs, sans bouger de la ou il était.

Je lance un coup d'œil au guerrier, immobile. C'est bien, il a compris.
J'essaye, avec des signes, de lui montrer le coin de lande dans lequel j'ai repéré l'odeur du mulot.
Puis, je me recensante, à l'affût de ce qui serai bientôt un repas pour moi et le clan.

Museau Ténébreux tenta tant bien que mal de déchiffrer les signes de l'apprenti.Il compris quelques chose qui ressemblé a ça:
Je veux aller manger au petit coin.Décontenancé le matou décida d'attendre le prochain mouvement de la chatte.

Je le regarde, et vois son visage, sur lequel se lit l'incompréhension.
Je retiens de pousser un petite souris, de peur de faire fuir le mulot. D'ailleurs, ce dernier commence à partir, parce qu'il à fini sa graine.
Je n'ai plus qu'une chose à faire : me dépêcher de le tuer.

Museau Ténébreux continuait d'observer la jeune féline.Toujours aussi immobile,il retint un baillement. Il sentit un courant d'air frais lui caressait le pelage.Il patienta, attendant le prochain mouvement de l'apprenti.

Je commence à m'approcher, rapidement mais en faisant attention aussi.
Plus que 5 mètre. Le mulot commence à partir.
Vite. En trois grands sauts, je suis sur lui. Pas assez rapide.
Le mulot m'échappe, de peu.
Je râle.

-Tu y étais presque!
Commenta le guerrier.Il s'approcha de l'apprenti qui râlé et dit:
-Ce n'est rien,tu attrapera autre chose!
Museau Ténébreux commença a se remettre en route et lança un regard a Nuage de Feuille:
-Tu viens?
Il se secoua un peu et gratta le sol,presser de repartir chasser.Soudain un grand coup de vent tomba,déstabilisant le matou,manquant de le faire trébucher.

Je piétine l'herbe à mes pieds, puis, aillant passer ma colère passage sur cette pauvre herbe, je vais rejoindre le guerrier, en espérant faire mieux la prochaine fois.

Le matou continua sa route accompagné de l'apprenti.Le vent soufflait fort est les ralentissait grandement.Ils furent obligé de faire une courte halte.Après quoi ils se remirent en course.Tout a coup le félin s'arrêta.Il avait sentit une souris il se mit en position de chasse , désigna la souris a l'apprenti et lui dit:
-A toi l'honneur.

J'oche la tête et lui répond, en murmurant :
-C'est toi qui la vue c'est toi qui la tue...
Bon, en réalité, je l'avait remarquer un peu avant lui, mais je voulais voir comme lui chasse. Et puis, faut avouer, j'avais la trouille de reraté ma proie devant un guerrier.
Dans ma tête, je me promet que la prochaine fois, c'est moi qui tuerai la proie, quelle soit lapin, sourie, mulot ou même un oiseau ! OK, faut pas trop rêver pour un oiseau mais bon... Sans espoir il n'y a rien non ?
Je laisse tomber ma philosophie à la noix et me cacher dans les herbes hauts, en faisant attention au sens du vent, qui souffle très fort aujourd'hui d'ailleurs.

Museau Ténébreux acquiesca.Le matou se mit en position de chasse, s'approchant de la souris lentement,le plus discrètement possible. Quand il fut assez près, Il fléchit les muscles et bondit sur la proie.Il la tua du premier coup.La souris n'était pas bien grosse,ce qui décevez le matou.Il enterra sa prise et dit:
-Remettons nous en route.

Je reste quelques dixièmes de secondes interdite, pût me reprend. C'est normal qu'il est eu sa proie, c'est un guerrier. Il faut vraiment que j'attaque quelque chose toute à l'heure. N'importe quoi... sauf un brin d'herbe, j'aurai l'air ridicule avec !
Je lui réponds quand même un "Bravo !" avec un grand sourire et recommence la chasse. Le temps passe et j'ai toujours pas repéré de proie. Je commence à désespérer... Bah, en même temps, y'a pas beaucoup de proie qui se promènent en hiver - sauf les suicidaires... pourquoi y'a pas plus de lapins suicidaires sur la lande ? Ça m'arrangerai...