Je ne suis pas immatérielle, tes petites piques me blesse (prix. Pique)

Je viens de finir de trier les remèdes de la réserve.
Youpi, et encore une journée palpitante et bien remplie... s'exclame ironiquement la voix dans ma tête.
Je regarde les plantes sèches et ternes que j'ai placé près de l'entrée de ma tanière. Il y a là une bonne moitié de ma réserve. Inutilisables maintenant. Il faut que je refasse le stocke au plus vite car la saison des feuilles mortes à déjà bien avancé.Jedécide de demandé à un apprenti de m'aidait,malgré de fait que j'en suis moi-même un.
C'est ça, comme si les apprentis avaient que ça à foutre... Je te rappelle qu'ils servent à quelles choseseux, pas comme toi !
Je sors timidement la tête de mon antre et avance dans la clairière.
Ce que tu fais très rarement d'ailleurs...
Je m'approche de la tanière des apprentis. Il y en a justement un qui à l'air de somnolé tranquillement, allongé au soleil. Je prends mon courage à de mains et décide de lui demandé de m'aider, au risque de le réveillé.
Quoi ? Tu vas adresser la parole à quelqu'un ?!! Mais tu es folle ! Tu ne le fais jamais ! C'est la première fois que tu vas parler à quelqu'un de ton plein gré !!! Et la dernière fois aussi, compte sur moi là dessus...
-Bon... bonjour... je suis désolé de te dérangé... mais j'aurai besoin d'aide... pour enlevé de ma tanière les remèdes pourris et pour... aller en cherché d'autres... dans la forêt... murmurais-je en hésitant.
C'est sûr que comme je ai parlé, il a dû m'entendre... Même une tique qui se serai trouvé sur le coin de ma bouche n'aurai rien entendu... et encore moins compris...
Même pas capable de parler normalement à quelqu'un... qui dort en plus ! Vraiment irrécupérable... si tu m'avais obéit normalement, on n'en serrai pas là, à devoir demandé de l'aide à quelqu'un...

Je venais enfin de finir mes corvées d'apprentis, c'était la chose que je détestais le plus dans un la vie d'un apprentie, les corvées. Maintenant je pouvais enfin faire la chose que je préférais, se prélasser au soleil. Je trouva alors un petit coin ensoleillé et commença à m'endormir. Alors que je commençais à tomber dans les bras de Morphée, j'entendis quelqu'un marmonner. J'ouvris un oeil et vis que c'était l'apprenti guérisseuse qui était sorti de sa tanière, c'était très rare car en tout je l'es vu sortir que deux ou trois fois. Mais une question me turlupinait, pourquoi elle se tenait devant moi toute gênée. En tout cas les gens qui sont gênés m'amusaient toujours et ce cas ne dérangeait pas à la règle. Je fermais l'oeil avec un sourire au lèvres et à Nuage de Brouillard "Parle plus fort j'entends pas!" car je l'entendait pas mais aussi car cela allait sans doute la rendre encore plus gênée se qui, pour moi, serait hilarant.

T'as bien vu ? Je le l'avais dis: si tu veux qu'on t'entende, il faut parler fort. Et le point que je préfère, c'est qu'on s'est fout de toi !
Je soupire et essaye de contrôlé les tremblants de ma voix:
-Je, je... je voulais te demandé de m'aidé...
Le reste de la phrase de coince au fond de ma gorge.
Si tu peux même pas parlé tranquillement à quelqu'un, tu mérites pas de vivre... Aller, meure, pour le bien des autres !

Elle commença à me réponde mais ne pu finir sa phrase, mon plan avait donc marché. Je lâcha un petit rire. Je leva la tête et regard la chatte grise dans les yeux. Je la senti de plus en plus gênée se qui m'amusait encore plus. Alors que je la regardait encore dans les yeux je lui dit:
"Tu pourrais répéter je n'ai pas entendu la fin."

Respire. Respire. T'es fait pas. Tout va bien.
Où as-tu vu ça ? Mais rien ne vas ! Un exemple: t'existe. Ha, je commence à bien aimé ce gamin, il joue sur tes nerfs. Pas aussi bien que moi mais il est doué.
-J'aurais besoin d'aide pour jeté dans remèdes pourris et pour aller en cherché d'autres dans la forêt. Veux-tu bien m'aidé ? dis-je d'une traite, sans reprendre mon souffle.
Ça s'améliore... Mais c'est très loin d'être parfait. En même temps, comme veux-tu un jour réussir quelque chose dans ta vie puisque tout ce que tu fais en pourris, comme tes "remèdes" et toi !

L'apprentie m'étonna, elle réussit à tout dire d'une traite mais ce qu'elle me demandait m'ennuyait. Je lui dit sur un ton froid et avec un sourire au lèvre:
"Pourquoi devrais-je d'aider alors que j'ai déjà faite toute mes corvées et qui fait si beau? Alors pourquoi?"

Ha, je commence vraiment à apprécié cet apprenti !
Je me fige quelques secondes et réfléchit. Oui, c'est vraie, il n'a aucun raison de m'aider. Mais qu'est que j'ai été bête de pensée qu'il aller répondre oui !
Oui, j'avoue, plus bête que toi, on meure.
-Bon ben... c'est pas grave, je vais tout faire toute seule... dis-je en reculant pendant quelques longueurs de que avec de partir en courant vers ma tanière.
Une fois à l'abri entre ces murs, je m'efforce de respiré calmement. Mes regard est attiré vers de tas de remèdes à jeté. Bon, il va falloir tout faire toute seule.
Je soupire puis attrape la un quart du tas et regarde dehors pour voir si l'apprenti est présent. J'ai peur de passé devant lu et qu'il se moque de moi. Donc, si il est encore là, j'attendrai qu'il tourne la tête pour passer.

Elle me laissa enfin tranquille. Je m'endormais rapidement alors que le soleil chauffais mon pelage noir. Je faisais un rêve merveilleux, c'était moi qui me reposais dans une prairie en plein soleil avec personne pour m'embêter. Mais soudain je fut réveiller par vive douleur. Je sautai et criai en balladant mes yeux autour de moi pour en voir la cause.

Il dort. Je peux y aller. Je traverse le camps d'un pas rapide et franchie la porte. Je m'enfonce dans la forêt. Au pied d'un grand sapin se tient fièrement un pied de soucie. Je pose les remèdes maintenant inutilisable et récolte les plantes de je viens de voir. Je reviens au camps, fièrement, et, en passant le tunnel, un cri retentit. Je franchis le tunnel et entre dans le camps, affolé.
-Qui as crié ? demandais-je, inquiète.
Comme si s'était intéressant... Ho, mais j'oubliais, RIEN dans ta vie n'est intéressant. Il y a que moi qui l'est.

Je vis que c'était d'autres apprenties qui m'avait piétinés la queue à plusieurs. Ils essayèrent de s'excuser mais je parti tout suite en leur criant dessus au passage. Alors que la douleur me faisait encore mal, je croisais la froussarde d'apprentie guérisseur qui demandai qui avait crié. Je lui répondis sur un ton sec que se n'est pas ses affaires.

-Bien sûr que si que c'est mes affaires, c'est moi qui vous soigne ! Alors, qui a crié et pourquoi ? criais-je à l'apprenti.
Je me fixe. Je viens de crier sur quelqu'un ! Mais qu'est qui m'as pris ? Je n'ai jamais haussé la voix de ma vie !
Elle deviens folle... La pauvre, à son âge... c'est... triste ? Pas du tout. Juste plus drôle.

Elle venait bien de me crier dessus, je ne me trompe pas. Elle m’impressionne et si elle veut tant soigner les gens qu'elle le fasse mais pas avec moi.
-C'est moi qui a crié car on m'avait piétiné la queue et c'est tout.
Je commençai à partir.

Je suis soulagé. Je pensais que s'était plus grave !
Tout est grave. Votre existence par exemple. C'est une grave erreur.
Je lui réponds tout de même:
-Quand tu auras des blessures plus graves viens me voir quand même !
Je repart vers ma bannière et prend la seconde parties du tas de remèdes pourris.
C'était bien la peine de les récoltés alors !

J'entendis lors que j'étais en train de partir, j'entendis Nuage de Brouillard de venir la voir si j'ai des blessures graves. Mais de toute façon je ne compte pas me blesser de n'importe quelle façon. Je passai alors le tunnel.

(Fin?)

(na, on va se croiser dans la forêt (forêt petite ^^))
Je prends le second tas de remèdes et part vers la forêt d'un pas rapide. Une fois dedans, je vais vers le coin où j'ai déposé mon premier paquet.
L'ennuie est mortel. C'est triste. Vous devriez déjà tous être mort. En même temps, vous vivez pour ça non ? Et tout qu'à, moi, je vie pour la mort des autres.

Alors que je me baladais, je vis Nuage de Brouillard entrain de faire une pile de ses remèdes. Je me couchai alors que ma bouche bailla et sorti ses paroles:
-Qu'es ce que c'est fatiguant de te voir travailler.

Je me retourne. Ho non...
Youpi ! Voilà l'emmerdeur de première ! J'adore ce gamin. Il te dis tes quatre vérités sans état d'âme. Il mériterai entre mon apprenti... Mais malheureusement, je suis un fantôme... Bah, c'est pas pus mal.
Je ne prend pas la peine de lui parler. Je pars vers un coin où je suis sûr de trouvé de la camomille.
Je ne vois pas l'intégré de faire la chasse aux herbes... le gibier, le sang et la vie des chats qui meures sont bien plus marrantes que de l'herbes...

Elle venait de m'ignorer. Je m'avançai alors et senti les deux tas de plante quelle venais de poser. J'appuyai dessus avec une patte. Cela fera un bon lit me dis-je.
-Merci pour ce nouveau lit.
lui dis-je alors qu'elle partait. Je commençai à me mettre dessus.

Quoi ? Il n'a aucun respect pour les remèdes. Il sont pourris, certes, mais quand même:
-Ses remèdes sont pourris... répondais-je.
Comme ton existence et ta vie.

-Tu devrais en laisser pourrir plus. C'est comme être sur un nuage.
Je m’emmitouflais alors dans les remèdes et j'en étales un peu.