Une rencontre au froid (Ft. Rhyolite)
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Une rencontre au froid (Ft. Rhyolite)
par Angelica Aloniska Sam 17 Déc 2016 - 21:28
Angelica s'adossa contre un des lampadaire de la rue. L'adolescente était en pétard et elle grinçait des dents. Guillaume était sensé venir et ils allaient passer un peu de temps à faire de la musique sous la neige mais ce dernier avait trouvé mieux de poser un lapin à Angelica! Il allait l'entendre!
Les premières neiges étaient tombée assez tôt cette années, quelques jours avant l'Hiver, et une fiche couche était sur la ville. Ce n'était pas grand chose mais il y avait de quoi faire quelques boules de neige.Pour l'instant, il ne faisait pas encore assez froid pour que l'adolescente change son style qui n'avait donc pas encore changé et sa peau était encore assez nue mais elle n'avait pas froid. De toute façon, la neige était froide, comme elle.
Elle regarda en l'air pour voir le ciel couvert de nuages. Il ne faisait pas très beau mais au moins la neige ne fondait pas et il n'y avait pas de soleil pour illuminer la journée qui était grise pour la fille.
Les bras croisés et le visage dur, elle tapait du pied. Angelica regarda une énième fois son téléphone: cela faisait une demi-heure qu'elle attendait et elle n'en pouvait plus. La colère montait à chaque minutes et, même si Guillaume était son meilleur ami, là, elle comptait bien lui faire comprendre qu'on ne lui posait pas de lapin! Il savait peut-être se défendre avec sa batte mais malheureusement pour lui, elle avait remarqué qu'il n'osait la frapper et ce, quelle que soit la situation.
L'adolescente avait déjà envoyé cinq messages et elle n'avait reçu aucune réponse évidemment. Elle en fit un dernier, faisant bien comprendre qu'il n'avait plus la peine de se bouger et que c'était elle qui arrivait. Bien sûr, elle ne comptait pas prendre le thé avec Guillaume. Elle allait plutôt faire une session maquillage à coup de poings et de pieds. Ca allait être violent et le nouveau rouge à lèvres de son ami serait très vif et son fard à paupière très foncé. Bref, du sang et des coquards à foison pour le garçon.
Elle appuya sur le bouton d'envoi et rangea son portable dans sa poche arrière de son short mais elle fut maladroite et se rata, faisant tomber le téléphone dans la neige. C'est alors qu'elle vit un petit oiseau se poser devant elle, il avait dû oublier de migrer. Sous la colère, Angelica donna un coup de pied dans la neige, aspergeant le volatile de cette matière blanche glacée. L'oiseau s'envola et l'adolescente finit par jurer, seule dans la rue.
Elle ramassa son téléphone et essaya de l'allumer, sans succès. Il était déjà à moitié cassé depuis le jour où elle avait rencontré Karma Akabane mais avec la neige qui s'était infiltré en plus, plus rien. Elle serra son portable violemment et le lança contre des poubelles en face, faisant un grand boucan surprenant.
Elle n'avait plus de téléphone, ses parents n'accepteraient jamais de lui en racheter un et elle n'avait donc plus aucun moyen d'accéder à ses chansons ou être au courant des prochaines fêtes, des propositions de ses potes et la possibilité d'appeler à l'aide. Elle jura une deuxième fois en prenant de la neige,fabriquant une boule et la jetant de nouveau sur des poubelles mais ce fut le miaulement d'un chat qu'elle entendit. Elle traversa alors la rue et alla voir l'endroit où elle avait lancé la boule de neige. C'est alors qu'elle vit un chat gris et roux se secouant pour retirer la neige qu'il avait sur le pelage. C'était clair,le malheureux s'était pris le projectile de l'adolescente.
Cette dernière tendit la main pour caresser le chat mais elle ne s'avança pas brutalement: elle préférait attendre que l'animal s'approche de sa main. Il devait avoir froid maintenant et ce, à cause d'elle. La colère tomba et Angelica s'en voulu pour cela. Elle s'accroupit pour se rapprocher un peu du chat mais elle ne s'avançait pas, elle ne voulait pas l'effrayer mais simplement "sympathiser".
Les premières neiges étaient tombée assez tôt cette années, quelques jours avant l'Hiver, et une fiche couche était sur la ville. Ce n'était pas grand chose mais il y avait de quoi faire quelques boules de neige.Pour l'instant, il ne faisait pas encore assez froid pour que l'adolescente change son style qui n'avait donc pas encore changé et sa peau était encore assez nue mais elle n'avait pas froid. De toute façon, la neige était froide, comme elle.
Elle regarda en l'air pour voir le ciel couvert de nuages. Il ne faisait pas très beau mais au moins la neige ne fondait pas et il n'y avait pas de soleil pour illuminer la journée qui était grise pour la fille.
Les bras croisés et le visage dur, elle tapait du pied. Angelica regarda une énième fois son téléphone: cela faisait une demi-heure qu'elle attendait et elle n'en pouvait plus. La colère montait à chaque minutes et, même si Guillaume était son meilleur ami, là, elle comptait bien lui faire comprendre qu'on ne lui posait pas de lapin! Il savait peut-être se défendre avec sa batte mais malheureusement pour lui, elle avait remarqué qu'il n'osait la frapper et ce, quelle que soit la situation.
L'adolescente avait déjà envoyé cinq messages et elle n'avait reçu aucune réponse évidemment. Elle en fit un dernier, faisant bien comprendre qu'il n'avait plus la peine de se bouger et que c'était elle qui arrivait. Bien sûr, elle ne comptait pas prendre le thé avec Guillaume. Elle allait plutôt faire une session maquillage à coup de poings et de pieds. Ca allait être violent et le nouveau rouge à lèvres de son ami serait très vif et son fard à paupière très foncé. Bref, du sang et des coquards à foison pour le garçon.
Elle appuya sur le bouton d'envoi et rangea son portable dans sa poche arrière de son short mais elle fut maladroite et se rata, faisant tomber le téléphone dans la neige. C'est alors qu'elle vit un petit oiseau se poser devant elle, il avait dû oublier de migrer. Sous la colère, Angelica donna un coup de pied dans la neige, aspergeant le volatile de cette matière blanche glacée. L'oiseau s'envola et l'adolescente finit par jurer, seule dans la rue.
Elle ramassa son téléphone et essaya de l'allumer, sans succès. Il était déjà à moitié cassé depuis le jour où elle avait rencontré Karma Akabane mais avec la neige qui s'était infiltré en plus, plus rien. Elle serra son portable violemment et le lança contre des poubelles en face, faisant un grand boucan surprenant.
Elle n'avait plus de téléphone, ses parents n'accepteraient jamais de lui en racheter un et elle n'avait donc plus aucun moyen d'accéder à ses chansons ou être au courant des prochaines fêtes, des propositions de ses potes et la possibilité d'appeler à l'aide. Elle jura une deuxième fois en prenant de la neige,fabriquant une boule et la jetant de nouveau sur des poubelles mais ce fut le miaulement d'un chat qu'elle entendit. Elle traversa alors la rue et alla voir l'endroit où elle avait lancé la boule de neige. C'est alors qu'elle vit un chat gris et roux se secouant pour retirer la neige qu'il avait sur le pelage. C'était clair,le malheureux s'était pris le projectile de l'adolescente.
Cette dernière tendit la main pour caresser le chat mais elle ne s'avança pas brutalement: elle préférait attendre que l'animal s'approche de sa main. Il devait avoir froid maintenant et ce, à cause d'elle. La colère tomba et Angelica s'en voulu pour cela. Elle s'accroupit pour se rapprocher un peu du chat mais elle ne s'avançait pas, elle ne voulait pas l'effrayer mais simplement "sympathiser".
Angelica Aloniska- Membre
- Autre(s) Compte(s) : Coeur de Jais ° Nuage Orageux
PUF : Angel; Evojais pour Elec; Doudou pour Raiponce; Aqua-jet pour Moussy; Origami pour Princesse; Darling pour Ako; JAIS pour GEAI; Fils pour Père/Papa; Stormininouchet pour Aile
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Noms : Angelica Susane Sarah Aloniska
Âge du Personnage : 17 ans
Clan : Bipède
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Apparence : bon,je m'ennuie pas,regarder mon avatar xD
Caractère : méchante,froide,distante, insociable. Elle reste beaucoup plus gentille envers les chats
Yens : 50
Re: Une rencontre au froid (Ft. Rhyolite)
par Rhyolite Mar 20 Déc 2016 - 11:50
Une rencontre au froid.
Feat AngelLe soleil dessine une ligne rouge à l’horizon.
C’est une belle journée en perspective. Il fait froid. Il fait toujours froid à cette époque de l’année, et lorsque Rhyolite, à l’aube, est sorti de la maison, il a vu la neige blanche, immaculée, éclatante qui recouvrait le sol de son jardin. Mais la neige ne l’étonne point ; il l’aurait été s’il avait fait chaud, or c’est loin d’être le cas et le souffle du matou forme une buée qui s’évapore rapidement dans l’air glacial. Il s’assoit de la même façon qu’à son habitude. Pourquoi aurait-il changé après tout ? Son quotidien lui suffit et il s’y sent libre de toute contrainte. Il est libre de s’asseoir chaque matin au même endroit, dans son jardin, et d’y regarder le soleil se lever. Tous les jours, et il serait faux de dire qu’il le fait à la même heure chaque jour. Le soleil ne se lève pas à la même heure et Rhyolite est réglé sur le cycle de l’astre lumineux, ainsi, il se lève chaque jour à l’heure à laquelle la boule de feu commence son ascension.
Le soleil se lève et Rhyolite observe. C’est beau, c’est toujours aussi beau et depuis trente lunes qu’il s’assoit dans ce jardin, le domestique ne s’est pas encore lassé. Un jour, peut-être, en aura-t-il marre de fixer les rouges, les mauves, qui se dispersent, éclatent et laissent place à un ciel bleu intense. Mais les couleurs sont tous les jours différentes et il faut chaque fois apprendre à les reconnaître. Apprendre les couleurs.
Ainsi il ne se lasse pas encore de regarder le lever du soleil.
Ce matin il fait froid. La neige est tombée et une mince couche recouvre le jardin. Ça s’accroche à ses pattes, ça colle, c’est de la poudreuse. Le genre que les chatons aiment, pour courir dessus, se rouler dedans et attraper les flocons. Rhyolite n’est pas un chaton et cela fait bien longtemps qu’il a perdu ses désirs de gosse. Après tout, il faut savoir grandir et évoluer. Le temps passe et arrache tout sur son passage, le temps efface les blessures et les souvenirs. Rhyolite ferme les yeux un instant tandis que l’astre du jour illumine avec force le ciel pâle. Les rayons viennent se réfléchir sur la neige.
Ça fait mal aux yeux. C’est trop lumineux. Les pupilles du domestique sont réduites à deux traits fins au centre de ses yeux ambrés. Il se lève ; le soleil est à présent à sa place dans le ciel, et les couleurs de feu se sont dissipées. Maintenant il va se promener dans la ville comme il en a toujours eu l’habitude. Il sort du petit jardin blanc, se glisse contre les barrières pour ne pas être vu, et rase les murs.
Son regard de braise se balade à gauche, à droite. Il s’enfonce dans la ville. Il trouvera peut-être même à manger quelque part, bien que son maisonnier le nourrisse. Il aime changer, il ne part jamais du même côté et son itinéraire est en fonction de son humeur, et de ses pas. Il se laisse guider et vit au gré des rencontres, au gré du vent. Il s’arrête et songe. Il s’interroge sur le bonheur ; peut-il être atteint ? Il se demande ce qu’est le bonheur, réfléchit à une définition. Ce n’est pas aisé car le bonheur est abstrait, c’est quelque chose que l’on ressent, que tout le monde peut ressentir. Et lui, est-il heureux ? Certainement pas. Il lui est arrivé de se sentir bien, à une époque désormais révolue. Aujourd’hui, il ne se sent ni bien, ni mal. Il reste dans cet entre-deux.
Soudain c’est la douche froide. Il se reçoit de la neige en plein sur son pelage. Le contact de la poudreuse sur sa peau le fait aussitôt frissonner, et il s’ébroue tandis que son coeur bat trop vite. Il tente de calmer sa respiration, les battements de son coeur, lorsqu’une bipède s’approche. Il ignore qu’elle est la fautive de cet accident malheureux.
Elle remarque le chat domestique qui ne porte pas de collier, et s’accroupit. Rhyolite n’est pas du genre à se laisser caresser par n’importe qui et pour n’importe quelle raison, surtout lorsqu’il vient se de recevoir de la neige sur son pelage gris et roux relativement court.
Pourtant il ose s’approcher un peu. Pas trop près, juste assez pour pouvoir tendre le cou, renifler la main de l’étrangère, la juger. C’est une jeune fille. Elle n’est pas de ceux qui jettent des pierres pour faire fuir les sales chats errants. Souvent, on le confond avec un chat sauvage, certainement à cause de l’absence de collier. Mais Rhyolite ne pourrait se débrouiller seul dans la nature, il ne sait comment s’y prendre, il vaut bien moins qu’un chat qui parvient à survivre tout un hiver seul. Ce qui, apparemment, n’est pas la vision de la plupart des Bipèdes, et Rhyolite se demande bien pourquoi. Encore un sujet à réfléchir.
Il ne bouge pas, et la neige qui a fondu coule un peu sur son pelage, le glace. Les oreilles pointées en avant, il observe les mouvements de la jeune, méfiant.
C’est une belle journée en perspective. Il fait froid. Il fait toujours froid à cette époque de l’année, et lorsque Rhyolite, à l’aube, est sorti de la maison, il a vu la neige blanche, immaculée, éclatante qui recouvrait le sol de son jardin. Mais la neige ne l’étonne point ; il l’aurait été s’il avait fait chaud, or c’est loin d’être le cas et le souffle du matou forme une buée qui s’évapore rapidement dans l’air glacial. Il s’assoit de la même façon qu’à son habitude. Pourquoi aurait-il changé après tout ? Son quotidien lui suffit et il s’y sent libre de toute contrainte. Il est libre de s’asseoir chaque matin au même endroit, dans son jardin, et d’y regarder le soleil se lever. Tous les jours, et il serait faux de dire qu’il le fait à la même heure chaque jour. Le soleil ne se lève pas à la même heure et Rhyolite est réglé sur le cycle de l’astre lumineux, ainsi, il se lève chaque jour à l’heure à laquelle la boule de feu commence son ascension.
Le soleil se lève et Rhyolite observe. C’est beau, c’est toujours aussi beau et depuis trente lunes qu’il s’assoit dans ce jardin, le domestique ne s’est pas encore lassé. Un jour, peut-être, en aura-t-il marre de fixer les rouges, les mauves, qui se dispersent, éclatent et laissent place à un ciel bleu intense. Mais les couleurs sont tous les jours différentes et il faut chaque fois apprendre à les reconnaître. Apprendre les couleurs.
Ainsi il ne se lasse pas encore de regarder le lever du soleil.
Ce matin il fait froid. La neige est tombée et une mince couche recouvre le jardin. Ça s’accroche à ses pattes, ça colle, c’est de la poudreuse. Le genre que les chatons aiment, pour courir dessus, se rouler dedans et attraper les flocons. Rhyolite n’est pas un chaton et cela fait bien longtemps qu’il a perdu ses désirs de gosse. Après tout, il faut savoir grandir et évoluer. Le temps passe et arrache tout sur son passage, le temps efface les blessures et les souvenirs. Rhyolite ferme les yeux un instant tandis que l’astre du jour illumine avec force le ciel pâle. Les rayons viennent se réfléchir sur la neige.
Ça fait mal aux yeux. C’est trop lumineux. Les pupilles du domestique sont réduites à deux traits fins au centre de ses yeux ambrés. Il se lève ; le soleil est à présent à sa place dans le ciel, et les couleurs de feu se sont dissipées. Maintenant il va se promener dans la ville comme il en a toujours eu l’habitude. Il sort du petit jardin blanc, se glisse contre les barrières pour ne pas être vu, et rase les murs.
Son regard de braise se balade à gauche, à droite. Il s’enfonce dans la ville. Il trouvera peut-être même à manger quelque part, bien que son maisonnier le nourrisse. Il aime changer, il ne part jamais du même côté et son itinéraire est en fonction de son humeur, et de ses pas. Il se laisse guider et vit au gré des rencontres, au gré du vent. Il s’arrête et songe. Il s’interroge sur le bonheur ; peut-il être atteint ? Il se demande ce qu’est le bonheur, réfléchit à une définition. Ce n’est pas aisé car le bonheur est abstrait, c’est quelque chose que l’on ressent, que tout le monde peut ressentir. Et lui, est-il heureux ? Certainement pas. Il lui est arrivé de se sentir bien, à une époque désormais révolue. Aujourd’hui, il ne se sent ni bien, ni mal. Il reste dans cet entre-deux.
Soudain c’est la douche froide. Il se reçoit de la neige en plein sur son pelage. Le contact de la poudreuse sur sa peau le fait aussitôt frissonner, et il s’ébroue tandis que son coeur bat trop vite. Il tente de calmer sa respiration, les battements de son coeur, lorsqu’une bipède s’approche. Il ignore qu’elle est la fautive de cet accident malheureux.
Elle remarque le chat domestique qui ne porte pas de collier, et s’accroupit. Rhyolite n’est pas du genre à se laisser caresser par n’importe qui et pour n’importe quelle raison, surtout lorsqu’il vient se de recevoir de la neige sur son pelage gris et roux relativement court.
Pourtant il ose s’approcher un peu. Pas trop près, juste assez pour pouvoir tendre le cou, renifler la main de l’étrangère, la juger. C’est une jeune fille. Elle n’est pas de ceux qui jettent des pierres pour faire fuir les sales chats errants. Souvent, on le confond avec un chat sauvage, certainement à cause de l’absence de collier. Mais Rhyolite ne pourrait se débrouiller seul dans la nature, il ne sait comment s’y prendre, il vaut bien moins qu’un chat qui parvient à survivre tout un hiver seul. Ce qui, apparemment, n’est pas la vision de la plupart des Bipèdes, et Rhyolite se demande bien pourquoi. Encore un sujet à réfléchir.
Il ne bouge pas, et la neige qui a fondu coule un peu sur son pelage, le glace. Les oreilles pointées en avant, il observe les mouvements de la jeune, méfiant.
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Caractère : Nerveux, rancunier, blessé, solitaire, doux, réfléchi, sage.
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Noms : Petit Cobalt, Nuage Cobalt, Cobalt Abyssal.
Âge du Personnage : 12 lunes
Clan : Clan de la Rivière
Rang ou Métier : Guerrier
Apparence : Cobalt Abyssal est très grand, son pelage est auburn, constellé de jais et ses yeux sont bleus cobalt.
Caractère : Arrogant, il se vante beaucoup et n'aime guère recevoir des ordres.
Trait Particulier : Allergique aux baies acides se trouvant sur la lande, sur le territoire des claniques venteux.
Yens : 413
Lien(s) : Future Compagne : Nuage Mélodieux
Mère Adoptive + Mentor : Colombe Écarlate
Frère : Nuage Tourmenté
Véritable Mère : Shaïna
Compagnons d'Enquêtes : Nuage Mélodieux - Nuage Ailé - Nuage Orageux - Colombe Écarlate ~
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